Super Mario Bros. Le Film

Réalisation : Aaron Horvath, Michael Jelenic

Scénario : Matthew Fogel

Production: Chris Meledandri, Shigeru Miyamoto

Acteurs: Pierre Tessier (Doublure française de Mario, Deadpool,…), Chris Pratt (Le Gardiens de la Galaxie, Jurassic World, …) Anya Taylor Joy (Le jeu de la dame, The Witch,…) Seth Rogen (Mes pires voisins, The Fablemans, En Cloque mode d’emploi,…) , Jack Black (Rock Academy, les Voyages de Gulliver,…), Keegan Michael Key (Le roi Lion, The Predators,…)…

Synopsis : Alors qu’ils tentent de réparer une canalisation souterraine, Mario et son frère Luigi, tous deux plombiers, se retrouvent plongés dans un nouvel univers féerique à travers un mystérieux conduit. Mais lorsque les deux frères sont séparés, Mario s’engage dans une aventure trépidante pour retrouver Luigi. Dans sa quête, il peut compter sur l’aide du champignon Toad, habitant du Royaume Champignon, et les conseils avisés, en matière de techniques de combat, de la Princesse Peach, guerrière déterminée à la tête du Royaume. C’est ainsi que Mario réussit à mobiliser ses propres forces pour aller au bout de sa mission.

Critique :

C’est avec un grand, un immense plaisir, que je vous annonce, que le film Super Mario Bros, est officiellement sortie en salle, et c’est un événement en soi, car après une production longue de 7 ans, et une attente plus qu’importante de la part de la communauté vidéoludique ainsi que les fans de Nintendo, nous avions hâte de voir le résultat de ce film produit par Shigeru Miyamoto, et Chris Meledandri, le papa de Nintendo et de Moi, Moche et Méchant. Autant vous dire que les langues baveuses dépeigné déjà une catastrophe naturelle sans nom, et que le film réalisé par le studio Illumination Paris, serai une catastrophe stratosphérique. Mais que nenni, Le poulet français en as encore sous le capot et le fait savoir, l’animation tout droit sortie des cervelles bien tissé des faiseurs de rêve qu’est Illumination Studio Paris, nous transporte dès les premières minutes dans l’univers de Mario et Bowser.

Le Jeux vidéo Mario Bros, créer en 1983 par le japonais Shigeru Miyamoto, nous emmener dans une aventure rocambolesque où Mario, un jeune plombier devais sauver la princesse Peach du vilain, Donkey Kong. Quelques années plus tard le grand méchant changer, Donkey devenais gentil, et c’est l’effroyable Bowser, roi des Coopa, qui prenait sa place, voulant absolument enlever la princesse pour pouvoir l’épouser. Finalement, le jeune plombier, Mario, battait le grand méchant et sauver la princesse. Une succession de jeux ont suivi, au fil des ans, et les jeux se sont étoffés, apporter une multitude de personnages et de jeux dérivé, comme Donkey Kong Country, Mario Kart, …

Revenons à nos moutons, le film nous transporte dans une histoire simple mais efficace, qui amène très bien les choses pour envoyer Mario et son frère Luigi, dans le monde fantastique des Toad, personnages en forme de champignon, où vis la princesse Peach. Vous dire que le scénario est magnifique et exceptionnellement novateur, serai une pur fumisterie, c’est simple, et efficace, sans chichi, et fait pour tous les âges, que ce soit vous, ou votre enfant, tout le monde y trouvera son compte. C’est bourré, d’easter Egg, avec des petites références à l’univers Nintendo un peu partout et des le début du film, que vous voyez Mario jouer à un jeu très connu sur une Nintendo Nes, ou que vous voyez le « Level 1-2 » dans les égouts de Brooklyn, tout est mis en marche pour que le spectateur, est l’impression d’être en train de jouer à son jeu Mario devant son écran de cinéma. Certes, ce n’est pas novateur, mais c’est efficace, et le reste on s’en fou, on à des références de partout, on est bien assis dans notre siège, on sourit, on rigole, et les animateurs complètement en roue libre, nous livre une partition très jolie avec un personnage de Bowser qui correspond à son interprète humain Jack Black, qui fidèle à son interprétation de chanteur de Teenacious D, nous décroche le sourire à chaque monologue de Bowser.

La reste des personnages n’est pas en retrait, que l’ont prenne la relation entre Mario et Luigi qui vivent encore chez leurs parents, à l’âge adulte, la connexion entre Peach et Mario, avec tout le lot de surprises qu’elle apporte, Les Kong, qui sont juste super frais, et raccord avec les jeux vidéo. La corrélation avec Mario Kart. Les références à tous l’univers de Nintendo tout au long du film. C’est un véritable master class que Chris Meledandri et Shigeru Miyamoto propose au spectateur.

Passons à l’animation, et que dire de la qualité et de la fidélité de se film à l’univers du jeu. Souvenons-nous, la catastrophe naturelle qu’était la première version de Sonic the Hedgehog, dans la bande annonce proposer par le studio Paramount. Le Studio à était obliger de reprendre les effets numériques du film à la dernière minute, décaler le film et se fié au critiques des fans de l’univers de Sega pour réalisé le succès que nous connaissons. Alors on s’attendaient au pire pour Mario, mais malgré des critiques des puristes sur le popotins de notre plombier préféré, la direction artistique du film est juste aux oignons, le studio Illuminations Paris à su insufflé les qualité d’animation que l’ont peu trouver dans leurs productions comme « Comme des Bête » et « Sing » sur un film Mario. Et que dire des couleurs, des animations, des références dans l’animations, les postures des personnages, les coups que portes ceux-ci, ou encore et ce n’est pas une surprise les animations sur les karts. Tout y est, il n’y a rien à jeter en termes de dessin et d’image. Autant les gens qui n’y connaissent rien, ou qui ne dessine pas, ne savent pas le temps que prend une modélisation aussi fidèle à un univers, car chaque dessinateur à sa pâte, et c’est extrêmement compliqué d’arriver à un tel résultat. Mais très franchement j’ai été soufflé.

Et le clou, le clou, du clou, c’est sans conteste la musique de se road-movie, Brian Tyler est plus que connu pour avoir composé des hymnes magnifiques, de Fast and Furious, à la nouvelle adaptation de Power Rangers, Scream 5 et 6, ou encore le Tic et Tac de Disney Plus. Mais aussi les Bandes Originales, de Yellowstone, 1883 et 1923 qui sont à mon sens des œuvres d’arts en termes de musicalité. Et que dire de la partition de Brian Tyler sur Super Mario Bros. Elle est juste épique, il transcende les musiques du jeux, et rajoute même des musique connu des année 80 et 90 qui rythme avec folie ce film d’animation, envoutant dans les thème principaux du jeu, mais pas que, si on tend bien l’oreille, nous pouvons retrouver les thèmes de Luigi’s Mansion, ou Donkey Kong, et quel surprise d’avoir entendu le thème magistrale de l’ère Nintendo 64, le Donkey Rap. Punaise je suis scotcher de voir combien toutes la production musicale de se film est fidèle et subtile, apportant à l’univers Mario, son propre thème hollywoodien.

On voit par-là, l’envie de Meledandri d’apporter un nouveau vent dans ses productions. Une nouvelle franchise en vue ? il n’y a qu’un pas.

Alors pour conclure, je dirai, laisser les langues rapeuses vous dire ce qu’ils veulent, mais si votre âmes d’enfants, et de gamers des année 90 vous brule, alors prenez le temps d’aller voir le film d’animation Super Mario Bros. Il est de loin la meilleure adaptation de jeux vidéo que j’ai vue en film. En série, la palme revient toujours, à The Last of Us, mais dans un paysage ou les adaptations de jeux vidéo sont extrêmement problématique, les succès étant en demi-teinte. N’ayez crainte, celui-ci vous ravira, vous et vos souvenirs d’enfant, ayant grandit sous l’égide de Nintendo. Alors Merci Chris Meledandri, Merci Mr. Miyamoto, et Merci la France d’avoir réalisé un film Mario Bros, aussi bien ! le Coq n’est pas mort !