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La Petite Sirène (2023)

Antho




Réalisation : Rob Marshall

Scénario : Jane Goldman

Acteurs : Halle Bailey (Grown-ish), Jonah Hauer-King (L’Incroyable Aventure de Bella, Old Boys,…), Melissa McCarthy (Spy, les Flingeuses, SOS fantômes,…), Javier Bardem (Dune, Pirate de Caraibe 5, …), David Deegs (Zootopie, Ferdinand, Hamilton,…), Jacob Trembley (Ne t’endors pas, The book of Henry, Wonder,…), Awkwafina.(Shang-chi, Renfield,…)


Synopsis : Les années 1830, dans les eaux d'une île fictive des Caraïbes. Ariel, la benjamine des filles du roi Triton, est une jeune sirène belle et fougueuse dotée d’un tempérament d’aventurière. Rebelle dans l’âme, elle n’a de cesse d’être attirée par le monde qui existe par-delà les flots. Au détour de ses escapades à la surface, elle va tomber sous le charme du prince Eric. Alors qu'il est interdit aux sirènes d'interagir avec les humains, Ariel sent pourtant qu’elle doit suivre son cœur. Elle conclut alors un accord avec Ursula, la terrible sorcière des mers, qui lui octroie le pouvoir de vivre sur la terre ferme, mais sans se douter que ce pacte met sa vie - et la couronne de son père - en danger...


Critique :

Qui n’a jamais entendu la musique d’Alan Menken, et de Howard Ashman, qui sous l’influence de Howard Ashman, virtuose de la musique chez Disney dans les années 90, avaient créé l’événement et su insuffler un rythme plus que connu encore aujourd’hui à se conte de Andersen créer en 1836. Combien de fois, votre fille, sœur, nièce, ou cousine, vous à cantonner l’air incessant qui reste dans votre esprit de « Embrasse-la » ou de « Partir là-bas ». Ainsi que la chevelure atypique d’Ariel d’un rouge flamboyant, pour ce personnage rebelle qui défie toutes les lois de son père pour vivre son rêve à la surface avec les humains.

Autant d’atout qui font de ce film une œuvre d’art qui a bercer mon enfance, c’est pour cela que je dois vous confier mon ressentit aujourd’hui, après un visionnage et une analyse du film, après avoir partagé mon expérience avec mes amis, et ma famille. Et enfin, après avoir pris le temps de comprendre ce que l’on pouvait reprocher à la version live de Disney.

Soyons franc, je ne suis pas partie dans la salle de cinéma sous les meilleurs hospices, pour moi le film était voué à l’échec trop surcoté par rapport à l’original qui rester pour moi un des meilleurs films de princesse que j’ai pu voir, et même si je préfère un « Roi Lion » original en dessin animé, ou un « Bossu de Notre-Dame » j’avoue que « La Petite Sirène » restera à jamais dans ma vie comme un monument du studio Disney, rien que dans l’innovation qu’il apporter au monde de l’animation en 1991 à sa création.



Et pourtant, pourtant, …, je vous annonce tous simplement que dans un style comédie musicale, le film est juste sublime, une digne succession du premier, avec tous les éléments qui font du premier un chef d’œuvre, et un élargissement de l’histoire très bien amené. Une sorte de grossissement de l’histoire avec une large palette de couleurs qui vous pète un peu trop au visage tels des confettis qui tombe du ciel et vous aveugle, on pourrait croire que tout cela est fait pour cacher un potentiel faux raccord ou un effets visuels dégueu, mais même pas, en fait quand c’est moche, c’est complétement assumé, et même, limite, ouvertement montré à l’écran. Alors non, les plans ne sont pas tous merveilleux, mais le job, est là ! et n’oublions pas que la cible de ce film est soit le vieux nostalgique de Disney, soit la jeune et jolie petite princesse qui a envie de s’émerveiller devant une jolie princesse. Et dieu sait combien ce film à était ouvertement critiqué pour son choix d’actrice. Je dois l’avouer, moi-même j’avais une appréhension de ce choix de casting, du fait de la présence encore importante dans mon esprit de l’Ariel du dessin animé. Et pourtant, au fur et à mesure que les bandes annonces nous ont présenté le film, j’ai commencé à me détaché de tous ses petits détails. Nous sommes dans une société, où le message divulgué en 1992, ne pourrait plus être explicitement exprimé. Aujourd’hui une jeune fille de tous ethnicité doit pouvoir s’apparenter à la princesse de son film favori. Et Disney a longuement était critiqué pour sa fermeture d’esprit de ce côté-là. Et sans tombé dans un Wokisme assumé comme dans « Avalonia » ; le studio, a su apporter son ouverture avec une habilité expliqué à l’écran de façon très ingénieuse. J’ai trouvé ce point particulièrement réussi. Permettant au large public de se retrouver dans ce film.


Le jeu d’acteur est impressionnant, autant pour Halle Bailey et pour Jonah Hauer-King qui sont une justesse impressionnante, ils sont moderne tout en restant traditionnel, une habilité assumé par Rob Marshall qui dirige dans le bon sens. Mais la prestation la plus impressionnante de ce film, reste à mon sens, celle de Melissa McCarthy, qui nous offre une Ursula à un niveau de folie similaire au dessin animé, elle est sombre et revancharde, elle est aussi effrayante, parfaitement respectueuse du personnage, même dans les postures, elle maitrise son rôle et le vit, sa se ressens à l’écran, et quel chanson !



Tiens parlons-en des chansons, point plus qu’important de l’original, c’était le point que je redouté le plus. Il n’y avait pas la place pour l’erreur, et à part la musique solo du prince Eric, toutes les autres sont magnifique, Lin Manuel-Miranda, est dans les traces de ses ainés, et accompagné du maestro de la plume chez Disney Alan Menken, ils réalisent, une prouesse hallucinante, de remettre au gout du jour, avec des tendances très latine, aux musique du premier épisode. Le travail est là !

La CGI, maintenant, et là le film pêche un peu, nous avons de très très beaux effets visuel, mais certain plan du film sont trop grossi, au point de les rendre des fois un peu kitsch, c’est franchement beau par contre, les animations sont jolie, et même les animaux marins sont super bien animé, le gros Bémol, reste Polochon, qui même s’il est cool et très bien doublé, c’est le poisson choisit qui est trop éloigné du dessin animé et du coup on pourrai presque le comparé à une carpe ou une daurade. Sébastien est un peu plus raccord en termes de design, mais bon, on est toujours loin de l’original, et par contre, l’humour de Sébastien est juste magnifique avec une dualité entre lui et Eureka porté par une Awkwafina toujours aussi marrante.

Enfin, je vous conseille de ne pas suivre les conseils que trop anti Disney des critiques de cinéma français qui veulent tous des films de grand cinéma pour des enfants, comme si tous les enfants de la planète espère voir un films comme 3 Billboard ou Nomadland au cinéma, parce que vous comprenez c’est des supers films de créateur. Alors oui, certes ces films ont des qualités, mais arrêtons d’être des moutons, et suivait votre instinct, j’y suis aller en n’espérant rien, et j’en suis ressorti combler, avec une petite princesse tout sourire qui à passer un super moment, et qui pense aujourd’hui que toutes les princesses Disney ne sont plus blanche de peau, c’est chouette, coloré, et sa fait oublier ce monde ou les gens s’entretue pour des territoires, alors manger un peu de poisson en allant voir la petite sirène, et qui sait vous aurez peut-être vous aussi envie d’embrasser la femme de votre vie dans une barque bercé par le doux chant d’un crabe.



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